mardi 22 octobre 2013

Départ en stage

(un an plus tard, un article)

Comme le jour d'automne où j'avais cherché un stage, trouvé un stage, et c'est comme ça que j'ai quitté Montpellier pour un endroit encore plus cool (sans vouloir lancer de polémique) que je vous laisse deviner.

J'ai donc loué un charmant studio sous les toits où il fait froid quand il fait froid dehors, et chaud quand il fait chaud. Mais je m'en fous, parce que de ma fenêtre, je vois CA :

(tu commences à situer ?)

Donc si tu veux, à partir de là, il y a plus grand chose qui m'importe. Ni de travailler à temps plein pour un tiers du SMIC, ni de monter 5 étages à pieds tous les jours, ni de marcher une demi-heure dans la neige sale avec mon ordi sur le dos pour aller au bureau (ça reste pas très différent de mon expérience russe/canadienne de ces 4 dernières années).

Je me suis même procuré un VTT d'occasion pour aller explorer le coin. Un VTT un peu relou (au vrai sens du terme), qui ne freine pas vraiment (mais c'est pas trop grave vu qu'il n'avance pas vraiment non plus), un peu grand, un peu moche mais pas tant que ça pour le prix que je l'ai payé.

Mais tout ça c'est pas grave non plus, vu que mon maître de stage (qui est genre "le gars le plus cool du monde", ce qui n'est pourtant pas gagné d'avance pour un sociologue) est multifonctions et qu'il m'a resserré les freins en même temps qu'il m'emmenait faire un super tour dans la Chartreuse (tu situes, là ? ;)), avec descente dans la boue et tout.


(comme le lecteur s'en doutera, cet article est légèrement post-daté (une autre façon de dire qu'il dormait dans les brouillons depuis la dernière fois qu'on a vu de la neige en France). Promis, bientôt, quelque-chose de moins réchauffé)